Une croix, un don

O Crux Ave

Vous souhaitez faire un cadeau pour une première communion? à un-e ami-e? à des paroissiennes ou paroissiens?

L’association O Crux Ave, soutenue par Mgr Morerod, propose des croix (9,5 cm sur 5 cm) en bois d’olivier, confectionnées par les chrétiens de Bethléem. Chaque croix est unique (4,50 CHF). Une prière sous forme d’une carte plastifiée (0,50 CHF) peut également accompagner toute croix.

Commande : ocruxave@bluewin.ch (frais de port inclus). Info

 

Covid-19 : Rencontres pour les moins de 16 ans dans le cadre de l’Église

Communication à nos agents pastoraux/UP/paroisses/missions linguistiques/communautés religieuses

Dans le souci de préserver un contact présentiel vital pour les enfants et les jeunes, et dans le souci du respect des normes sanitaires, la Cellule diocésaine Covid-19 dresse le point de la situation concernant les rencontres des moins de 16 ans dans le cadre de l’Église (catéchèse, réunions de préparation à la première communion, à la confirmation, etc.). Elle compte sur le bon sens de chacune et chacun pour adapter le nombre des participants en fonction de la taille des locaux, de façon à respecter les normes de distanciation.

Canton de Vaud :

Les groupes d’enfants et de jeunes peuvent se réunir au nombre de 15 maximum. La présence de personnes dès 16 ans ne peut cependant pas excéder 5 personnes supplémentaires. Les réunions doivent respecter les conditions suivantes :  

  • Port du masque obligatoire à partir de l’âge de 12 ans ;
  • Respect de la distance d’1,5m ;
  • Tenue à jour de la liste des participants ; 
  • Mise en place d’un plan de protection en conformité avec les directives du GLAJ.

Lorsque les groupes de 5 sont déjà formés et agendés, il est préférable de continuer ainsi au moins jusqu’aux vacances scolaires de février afin de ne pas bouleverser l’organisation des familles.  

Cantons de Fribourg :

  • Les réunions peuvent se dérouler sans limite de personnes et sans masque pour les enfants et jeunes de moins de 16 ans. L’espace de 4m²/pers. (espace conseillé lorsque les gens sont statiques) permet de définir le nombre de personnes pouvant se retrouver dans une salle. Un plan de protection doit également être mis en place.

Canton de Genève :

Nous recommandons la suspension des rencontres de catéchèse en présentiel et de promouvoir des activités à distance. Les activités de catéchèse en présentiel peuvent néanmoins avoir lieu à certaines conditions : seuls les enfants de moins de 12 ans peuvent y participer ; disposer d’un plan de protection qui garantit le respect des mesures sanitaires en vigueur ; sans aucune obligation pour les bénévoles responsables de l’animation.

Canton de Neuchâtel :

  • Les réunions peuvent se dérouler sans limite de personnes pour les enfants et jeunes de moins de 16 ans. L’espace obligatoire est de 1,5m tout autour de chaque personne. Il faut donc prévoir des salles assez grandes.

Quid des rencontres d’adultes dans le cadre de l’Église ? Nous redisons que toute réunion en présentiel est à éviter, sauf si elle est indispensable. Si elle ne peut pas se dérouler en vidéoconférence, elle ne devrait pas dépasser, en privé, 5 personnes (enfants inclus), avec le port de masque en tout temps et la distance et la désinfection des mains et l’aération de la salle.

Canton de Fribourg : 
La limitation des 5 personnes ne s’applique pas aux conseils paroissiaux. Les assemblées paroissiales sont toujours autorisées.

Canton de Neuchâtel :
Dans le cas exceptionnel où une réunion devrait avoir lieu en présentiel, la limitation est de 5 personnes (réunions pastorales ou autres).

N’hésitez pas à consulter notre foire aux questions ou à contacter notre cellule diocésaine :

  • Vaud : Michel Racloz : 021 613 23 41
  • Genève : Silvana Bassetti, Mercedes Lopez : 022 319 43 37
  • Fribourg (français) : Véronique Benz, João Carita : 026 426 34 13
  • Fribourg (allemand) : Marianne Pohl-Henzen : 026 426 34 15
  • Neuchâtel : Julia Moreno : 032 720 05 61

La Cellule diocésaine Covid-19

(Version PDF du communiqué)

Semaine de l’unité des chrétiens

Message de l’évêque

La semaine de prière pour l’unité des chrétiens implique tout d’abord ce que son nom indique. Mais pourquoi prier ? Parce que c’est la volonté explicite du Christ : « Que tous soient un. Comme toi, Père, tu es en moi et moi en toi » (Jean  17,21). N’oublions pas le prix de notre unité, que j’aimerais relever ici avec Calvin :
« Q. Qu’est-ce que l’Église catholique ?
R. C’est la compagnie des fidèles, que Dieu a ordonnés et élus à la vie éternelle.
Q. Est-il nécessaire de croire cet article ?
R. Oui, si nous ne voulons rendre la mort de Jésus-Christ infructueuse et tout ce qui en a été dit, inutile : car le fruit qui en procède, c’est l’Église. » [1]

+Charles Morerod OP, évêque

[1] Le Catéchisme de l’Église de Genève, Edition nouvelle en français moderne, 15e section, in: Jean Calvin, Le catéchisme de Genève, En français moderne, Suivi de La confession de foi des Églises Réformées de France et  de La confession de foi des Églises Réformées wallones et flamandes des Pays-Bas, ‘Je sers’, Paris, 1934, p.43.

Les sœurs de Grandchamp inspirent la Semaine de l’unité des chrétiens

Chaque année, un groupe œcuménique différent à travers le monde est chargé de proposer un thème et de préparer les textes pour les célébrations œcuméniques de la semaine de l’Unité pour les chrétiens. Cette année, c’est la Communauté des sœurs de Grandchamp, dans le canton de Neuchâtel qui a été choisie. Les textes sont disponibles en français, allemand, anglais, espagnol et portugais sur le site officiel du COE.

À lire sur cath.ch : Les sœurs de Grandchamp inspirent la Semaine de l’unité des chrétiens

Dispositions Covid-19 suite aux décisions du Conseil fédéral du 13 janvier 2021

Communication à nos agents pastoraux/UP/paroisses/missions linguistiques/communautés religieuses

Télétravail
Le télétravail a été rendu obligatoire par le Conseil fédéral, avec cette précision : « Les employeurs devront mettre en place le télétravail pour autant que la nature de leurs activités le permette et que cela soit possible sans efforts disproportionnés. » Les informations en ce sens émanent de vos employeurs.

Réunions
Toute réunion en présentiel est à éviter, sauf si elle est indispensable. Si elle ne peut pas se dérouler en vidéoconférence, elle ne devrait pas dépasser, en privé, 5 personnes, avec le port de masque en tout temps et la distance et la désinfection des mains et l’aération de la salle.

Pas de changement au niveau des cérémonies religieuses
En ce qui concerne les célébrations, il n’y a aucun changement, elles restent limitées à 50 personnes et les normes en vigueur doivent être strictement respectées (cf. rappel ci-dessous).

Imposition des Cendres en temps de pandémie
La Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements a émis une note du 12 janvier 2021 concernant l’imposition des Cendres en temps de pandémie, rappelant qu’il convient d’éviter tout contact physique lors de ce rituel.

Rappel des règles d’hygiène :
Règles d’hygiène qui doivent être scrupuleusement respectées par les officiants et par les fidèles :

  • Traçage : Les paroisses doivent mettre en place un système de collecte des données des participants aux célébrations.
  • Pas de chant
  • Port du masque obligatoire pendant toute la célébration
  • Les officiants doivent donner le bon exemple en se désinfectant les mains de manière correcte selon les directives. NB : désinfection des mains après avoir touché le masque.
  • Les règles d’hygiène, de port du masque, de distance physique et les règles sanitaires spécifiques au déroulement de la cérémonie doivent être rappelées lors de l’inscription et en ouverture de chaque célébration.
  • Les espèces eucharistiques (le pain et le vin) doivent être couvertes durant toute la durée de la prière eucharistique (palle). Le célébrant se désinfecte les mains tout au début de la préparation des dons. Seul le célébrant communie au calice. Les concélébrants communient par intinction.
  • Avant de distribuer la communion, les auxiliaires de l’Eucharistie se désinfectent les mains. Le dialogue « Le Corps du Christ » – « Amen » est prononcé communautairement avant que l’on procède à la distribution de la communion.
  • Au moment de la communion, dans le respect des distances, l’officiant ou l’auxiliaire de l’Eucharistie, ainsi que les fidèles doivent porter le masque, et se désinfecter les mains.
  • L’officiant, en gardant les distances, doit donner la communion en laissant tomber l’hostie dans la paume du fidèle sans qu’il y ait contact.
  • Au moment de communier, le fidèle doit ôter le masque en détachant uniquement un seul élastique et le remettre de manière à couvrir le nez et la bouche, immédiatement après. Nous vous rappelons que le masque ne doit pas être baissé sous le menton, car le tissu du masque peut être source de contamination.

Rappels particuliers selon les cantons :

Canton de Genève :

Canton de Vaud :

  • Les fidèles doivent rester à leur place pendant les célébrations.
  • Les célébrants sont inclus dans les 50 personnes.

Cantons de Fribourg et Neuchâtel :

Un seul soliste peut se produire à bonne distance (5 m pour Neuchâtel).

N’hésitez pas à consulter notre foire aux questions ou à contacter notre cellule diocésaine :

  • Vaud : 021 613 23 41
  • Genève : 022 319 43 37
  • Fribourg : 026 426 34 13 (français) / 026 426 34 15 (allemand)
  • Neuchâtel : 032 720 05 61

La Cellule diocésaine Covid-19

(Version PDF du communiqué)

Précisions suite à la publication d’articles

Communication à nos agents pastoraux

Après la parution d’un article précis dans la Neue Zürcher Zeitung1 du 13.12.2020, où la journaliste distinguait bien mes propres propos de ce qui lui venait d’autres sources (que je n’ai pas à connaître), je vois que la suite2 a mêlé l’ensemble de ces sources comme si tout venait de moi. Les réactions très variées reçues hier m’amènent donc à certaines précisions, à commencer par le fait que le but n’est pas de chasser la moitié des prêtres, mais d’adapter progressivement leur nombre à la réalité pastorale.

Le point de départ des réflexions publiées récemment, et qui ne sont pas du tout nouvelles (elles ont été l’objet de discussions au conseil épiscopal dès mon arrivée il y a 9 ans) est l’impact sur la vie des communautés chrétiennes, donc aussi des prêtres, de la permanence d’une couverture territoriale qui s’est fortement développée durant la première moitié du 20e siècle (on y a construit de nombreuses églises et fondé de nombreuses paroisses). Actuellement cela amène déjà beaucoup de croyants, notamment les jeunes mais pas seulement, à se rendre surtout, voire seulement, dans des lieux plus centraux, afin de sentir le soutien d’une communauté vivante ; je constate cette situation déjà existante, et qui rejoint la situation de l’Église antique où on se rassemblait des villes et des villages alentour pour l’eucharistie. A ce mouvement spontané de rassemblement de laïcs « libres » correspond le devoir de prêtres disant l’usure que représentent pour eux des célébrations devant des petits groupes de personnes qui ne leur répondent pas. Un évêque français m’avait dit, commentant sa propre expérience des années 1960-70, que la plupart des prêtres qui avaient quitté le ministère avaient été épuisés par le contraste entre l’enthousiasme du don de leur vie et une indifférence de plus en plus évidente. Certes, je sais aussi par expérience personnelle que la célébration de l’eucharistie, même avec une communauté réduite à sa plus simple expression, remplit une journée grâce à la présence du Christ. Et je sais encore que la foi de quelques personnes silencieuses au fond d’une église est un trésor caché, et qu’il ne faut pas abandonner ces personnes comme si leur fidélité était un problème.

Il y a un paradoxe du moment présent. Comme peu de monde peut se rassembler, j’invite à multiplier les célébrations, et je remercie ceux qui le font de ce témoignage de foi et de souci pastoral. En même temps cette situation nous permet d’observer ce à quoi pourrait ressembler l’avenir, gardant toujours à l’esprit que le Saint Esprit n’est pas prisonnier de courbes statistiques.

Il existe depuis quelques années dans notre diocèse (comme dans d’autres pays) une « cellule » d’accueil pour les prêtres (et agents pastoraux laïcs, mais le cas est plus rare) « venus d’ailleurs ». Le but est de donner une introduction à des spécificités locales. Je rencontre cette cellule une fois par année et y dis chaque fois, entre autres : étant donné que votre expérience antérieure est souvent différente, soyez conscients que la mentalité suisse est très égalitaire (regarder les laïcs comme un troupeau obéissant suscite des allergies) et que les relations avec les Églises réformées y sont cordiales. Cette cellule (le terme n’a pas un sens carcéral) a pour but d’aider ces prêtres venus en mission, aussi en corrigeant nos propres erreurs dans leur accueil.

Plus de 60% des catholiques du diocèse sont de proche origine étrangère, et je les remercie fréquemment de leur présence. Ils sont souvent heureux de pouvoir rencontrer des prêtres de leur pays d’origine, et pas seulement dans les « missions linguistiques » ; certains relèvent aussi le bienfait pour eux de découvrir ici un respect inattendu pour leur vie de laïcs. Des Suisses sont évidemment aussi souvent heureux de la joie de prêtres étrangers, et je partage cette joie.

Il reste que des questions doivent être posées : la manière dont on « couvrait le territoire » il y a 60 ans doit-elle être, littéralement, fixée dans la pierre, que ce soit pour y célébrer la messe ou d’autres liturgies ? Des églises qui se trouvent à quelques minutes à pied les unes des autres (en ville…) aboutissent à une dispersion de petites communautés, et les célébrations qui s’y déroulent, notamment le dimanche, ne manifestent plus le rassemblement de la communauté autour de ce centre qu’est la présence du Christ dans l’eucharistie. Quel service rendons-nous aux Églises dont nous recevons les prêtres (le Vatican nous met constamment en garde) ? Comment stimulons-nous les vocations en Suisse (prière des communautés, éveil des candidats) si nous suggérons que de toute manière il suffit d’en importer ?

Je vous fais la confidence d’un rapport de ces réflexions avec les circonstances de ma propre vocation, laquelle me dérangeait parce qu’en fait je n’avais pas du tout envie d’y répondre, ce que je n’ai d’ailleurs jamais regretté d’avoir fait. A la fin de mon adolescence, je me demandais qui assurerait l’avenir de l’Église ici et maintenant. Comment aurais-je réfléchi si j’avais eu l’impression que ce don pas évident de ma vie n’était pas utile, puisqu’il y avait ailleurs des réserves suffisantes de prêtres ?

+ Charles Morerod

1 https://nzzas.nzz.ch/schweiz/bischof-will-priester-loswerden-ld.1591824

2 Cf. https://www.kath.ch/medienspiegel/bischof-will-priester-loswerden/ et https://www.cath.ch/newsf/charles-morerod-veut-reduire-de-moitie-leffectif-de-son-diocese/, articles où j’ai aussi pu m’exprimer moi-même.

(Version PDF de la communication)

Écologie : l’évêché fait son bilan carbone

En cette Journée internationale du Climat, l’évêché à Fribourg, siège du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg, révèle son bilan carbone sur l’ensemble de l’année 2019. Cette étude, réalisée par Climate Services, a été mandatée dans le souci de cerner les champs où réduire son empreinte écologique. À la lumière de Laudato Si’, encyclique du pape François sur le respect de la Création …

Le bilan total de l’évêché, bâtiment historique protégé dans laquelle travaillent 21 collaborateurs, s’élève à 45 tonnes de CO2. Un chiffre qui demeure dans les normes habituelles, aux yeux des spécialistes. Alors que le tri de déchets fait déjà ses preuves et que les émissions de CO2 pour la mobilité sont particulièrement basses, la principale cause d’émission de CO2 est l’utilisation de gaz naturel pour le chauffage, représentant plus de 80% des émissions. Vue l’ancienneté du bâtiment et le fait que ce dernier n’est pas situé dans le périmètre raccordable au chauffage à distance de la ville de Fribourg, les marges d’amélioration sont malheureusement très réduites.

Suite à ces résultats, les services de l’évêché ont mandaté une entreprise pour signaler des éléments concrets d’amélioration écologique (vérification et remplacement de vannes thermostatiques, remplacement de fenêtres, etc.).

Quant à la mobilité, il est à relever que Mgr Morerod voyage en train ou à vélo dans la mesure du possible. Il a d’ailleurs parcouru près de 27’000 km en train et environ 7’000 en voiture durant l’année 2019. De plus, sur les 21 collaborateurs, 6 seulement se rendent en voiture sur leur lieu de travail.

L’évêché avait également proposé aux entités catholiques de chacun des cantons du diocèse de faire cette évaluation.

Fribourg, le 8 décembre 2020, fête de l’Immaculée Conception

Le Service diocésain de la communication

Annexe : Bilan CO2 de l’évêché

(Version PDF du communiqué)

Nouvelle bière de l’évêque

Mgr Charles Morerod, évêque de Lausanne, Genève et Fribourg, inaugure la sixième cuvée de la bière de l’évêque : « Le Bras saint ». Ce brassin, réalisé pour la fête de la Saint-Nicolas, est en vente dès le 7 décembre, à l’évêché ou par poste. Une partie des bénéfices sera reversée à deux associations caritatives.

Si l’habituelle inauguration printanière de la « bière de l’évêque », dans la cour de l’évêché, n’a cette année pas pu avoir lieu au vu des conditions sanitaires, la cuvée 2020 n’est que repoussée dans l’année, pour la fête de la saint Nicolas. Cette bière brune hivernale, à base de mandarine et badiane, fait référence au bras de saint Nicolas de Myre, reliquaire exposé à la cathédrale de Fribourg et visible sur les armoiries du diocèse.

Brassée à Carouge, « Le Bras saint » verra sa vente profiter à deux associations caritatives. D’une part, Agapa Suisse-Romande, association basée depuis 25 ans à Fribourg, soutient les personnes qui ont vécu un deuil périnatal, en proposant divers accompagnements en individuel ou en groupe. D’autre part, l’association Des Calories pour la Vie, qui lutte contre la faim dans plusieurs pays, en nous proposant de renoncer à un repas par semaine pour en offrir la contre-valeur à une œuvre luttant contre la faim.

La bière de l’évêque est mise en vente par l’évêché via la société Coussicou SA. « Le Bras saint », ainsi que la cuvée précédente, « La Basilique », sont en vente dès lundi, à retirer à l’évêché à Fribourg (rue de Lausanne 86 à Fribourg) ou à commander par poste.

Le principe de la bière de l’évêque est d’en décliner chaque année une nouvelle cuvée limitée, dont la vente est destinée à des œuvres caritatives.

Le Service diocésain de la communication

Liens :

PS 1 : Pour les Fribourgeois : nos bières peuvent être commandées sur Kariyon de Noël ce mois-ci !

PS 2 : Reportage de la RTS sur la démarche « Offrez des Calories pour la Vie! » du 29.12.2019

(Version PDF du communiqué)

Message et calendrier de l’Avent

Communication à nos agents pastoraux/UP/paroisses/missions linguistiques/communautés religieuses

À la veille de l’entrée dans l’Avent, Mgr Morerod souhaite vous adresser ce message vidéo.

Sachez également que dès ce dimanche, un calendrier diocésain de l’Avent est consultable : une fenêtre apparaîtra chaque jour sur le site internet du diocèse ainsi que sur sa page Facebook.

Malgré la situation sanitaire difficile, le diocèse reste vivant grâce à vous. Ainsi, nous relayerons sur notre site internet les actions et initiatives que vous proposez dans vos UP, paroisses, communautés, aumôneries, etc. pour l’Avent et Noël. Merci de nous les faire connaître à info@diocese-lgf.ch pour les partager au plus grand nombre !

Nous vous souhaitons un bel Avent : « moment propice pour accueillir la venue de Jésus, qui vient comme messager de la paix nous indiquer les voies de Dieu » (Pape François, Angélus, 01.12.2019).

Le Service diocésain de la communication

(Version PDF du communiqué)

Le diocèse s’engage pour la Journée mondiale des réfugiés

Samedi 20 juin 2020, Journée mondiale des réfugiés, le diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg prendra part à l’initiative « Les nommer par leur nom », qui consiste à nommer les 40.555 personnes qui ont péri depuis 1993 sur les routes de l’exil vers l’Europe et notamment dans la mer Méditerranée. La liste des noms sera répartie et lue en divers lieux du diocèse. Il s’agit, par cette démarche, d’honorer toutes les personnes décédées et de protester contre leur mort.

Mgr Charles Morerod invite les acteurs de son diocèse à prendre part à l’initiative « Les nommer par leur nom » qui fait mémoire des personnes décédées et enjoint à une réflexion sur l’asile. L’évêque a également rédigé un texte à disposition des paroisses des quatre cantons du diocèse.

L’initiative « Les nommer par leur nom » a été lancée par la paroisse réformée de Heiliggeist et la « offene Kirche » à Berne. Le diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg se joint à cette initiative, de manière œcuménique et interreligieuse. En parallèle à la lecture des noms des migrants décédés, la démarche prévoit l’envoi d’une lettre pour interpeler le Conseil fédéral.

Le 20 juin, à Genève, Mgr Alain de Raemy, évêque auxiliaire, se joindra à la lecture de noms des migrants disparus. Quant à Mgr Charles Morerod, il sera disponible pour répondre aux questions et remarques sur cette thématique en direct sur la page Facebook du diocèse, à 15h.

Outre la Journée mondiale des réfugiés instaurée par l’ONU en 2001, l’Église catholique célèbre également, et depuis 1914, Journée mondiale du Migrant et du Réfugié (qui cette année aura lieu le 27 septembre).

Les initiatives au sein du diocèse

Dans le canton de Genève :

Samedi 20 juin :

  • de 10h à 22h : Lecture de quelque 10’000 noms sur le parvis de l’église Sainte-Croix à Carouge, avec présence de Mgr Alain de Raemy de 12h30 à 13h30
  • de 12h à 13h : 50e Cercle de silence à Genève sur la place du Cirque (Plainpalais), avec présence de Mgr Alain de Raemy à 12h00

Dans le canton de Vaud :

Samedi 20 juin :

  • à 15h : Cercle de silence en solidarité avec les réfugiés, parvis de l’église Saint-Laurent, Lausanne
  • dès 16h : Lecture des noms et signature des lettres, parvis de l’église Saint-Laurent, Lausanne

Dans le canton de Neuchâtel :

Samedi 20 juin :

  • à 17h30 : Veillée de prière pour les migrants, avec lecture de quelques noms, église de Boudry
  • horaire à définir : Messe avec témoignage d’une femme réfugiée, et lecture de quelques noms, église de Cernier
  • horaire à définir : Messe sur le thème du réfugié, église du Cerneux-Péquignot

Dimanche 21 juin :

  • à 10h : Messe avec témoignage d’un jeune Somalien, et lecture de quelques noms, église de Boudry
  • horaire à définir : Messe avec témoignage et chants de deux femmes requérantes d’asile de Boudry, et lecture de quelques noms, église de Cernier
  • horaire à définir : Messe sur le thème du réfugié (et possible témoignage : en élaboration), église de la Chaux-de-Fonds

À l’évêché :

Samedi 20 juin :

  • à 15h : Mgr Morerod se tient à disposition sur la page Facebook du diocèse pour une « pause-café » sur la thématique de la migration. Possibilité d’adresser ses questions en direct ou par message privé

 

Annexes :

 

Le Service diocésain de la communication

(Version PDF du communiqué)

Trois nouveaux prêtres pour le diocèse

Le mois de juin verra trois ordinations successives de prêtres dans le diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg ! Le Genevois Vincent Lathion, le Saint-Gallois Josef Güntensperger et le Tessinois Giuseppe Foletti – après respectivement des études de médecine ou une carrière dans le secteur bancaire – seront ordonnés prêtres à Fribourg. Ces diverses célébrations sont à suivre en direct sur la chaîne YouTube du diocèse.

Dimanche 7 juin 2020, Vincent Lathion sera ordonné prêtre par Mgr Charles Morerod, à la cathédrale St-Nicolas à Fribourg (à huis clos vu les circonstances sanitaires).
Âgé de 29 ans, Vincent Lathion, d’origine valaisanne, a grandi à Genève. Après le collège, il s’inscrit à la faculté de médecine et y achève sa première année. En automne 2013, il entre au séminaire du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg pour une « année de discernement ». Il poursuit ensuite sa formation en tant que séminariste à la faculté de théologie de l’université de Fribourg. En 2019, il obtient son master de théologie puis commence une année de stage dans l’Unité pastorale Sainte Marguerite Bays (regroupement de 16 paroisses vers Romont) où il poursuite son ministère à l’heure actuelle. Il célébrera sa première messe le 12 juillet à l’église Saint-François-de-Sales de Chêne-Bourg, à Genève.
Ordination en direct sur YouTube : dimanche 7 juin à 15h00.

Samedi 13 juin 2020, Josef Güntensperger sera ordonné prêtre par Mgr Alain de Raemy, à l’église des Cordeliers à Fribourg (à huis clos vu les circonstances sanitaires).
Josef Güntensperger est né en 1963 à Uznach (SG), où il a grandi et fait ses études. Après avoir effectué un apprentissage commercial dans le secteur bancaire et obtenu un diplôme fédéral de banquier, il a exercé sa profession pendant environ 33 ans, en grande partie à l’étranger (brièvement à Paris et principalement en Amérique du Nord). Après son retour en Suisse, il travaille à Genève. En 2012, il quittera le monde financier pour vivre quatre années dans un couvent bénédictin. En 2014, il commence ses études de théologie à Fribourg, qu’il termine en 2018 par un master puis un stage paroissial en ville de Fribourg. Il travaille actuellement au Vicariat épiscopal du « Deutschfreiburg » (partie germanophone du diocèse) et à la pastorale paroissiale de la ville de Fribourg et de ses environs. Josef Güntensperger célébrera sa première messe dimanche 14 juin à l’église des Cordeliers, à Fribourg.
Première messe en direct sur YouTube : dimanche 14 juin à 11h00.

Dimanche 28 juin 2020, Giuseppe Foletti sera ordonné prêtre par Mgr Charles Morerod, à la cathédrale St-Nicolas à Fribourg (à huis clos vu les circonstances sanitaires).
Giuseppe a 31 ans. Il est né au Tessin et y a grandi jusqu’au début de ses études universitaires en médecine, qu’il a effectuées de 2007 à 2013 à Lausanne. Après l’obtention de son diplôme de médecine, il entre au séminaire du diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg où il entame une « année de discernement ». À la suite de celle-ci, il commence les études en théologie à l’université de Fribourg où il obtient son master en théologie au début de l’été 2019. En automne 2019, il effectue une année de stage et de diaconat à la Basilique Notre-Dame de Lausanne, où il va continuer pour un temps son ministère.
Ordination en direct sur YouTube : dimanche 28 juin à 15h00.

La dernière ordination d’un prêtre diocésain – pour le diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg – a eu lieu à Lausanne en juin 2016.

Le Service diocésain de la communication

(Version PDF du communiqué)