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Le sacrement des malades, autrefois appelé extrême onction parce qu’on le recevait à l’article de la mort, est le signe de la présence de Dieu auprès de celui qui souffre dans son corps ou traverse une épreuve. Il peut être reçu plusieurs fois et renforce l’espérance qui anime le chrétien, lui apporte la douceur et la paix du Christ qui guérit.

À la veille d’une opération, dans un moment de dépression, pour affronter une grave maladie, n’hésitez pas à faire appel à un prêtre.

Le sacrement de l’ordre confère une grâce particulière aux hommes qui désirent se mettre au service du Christ et de son Eglise en tant que diacres ou prêtres. Après des années de discernement et de formation, ils sont reçus par l’évêque qui leur confère ce sacrement. Ils sont configurés au Christ de telle sorte qu’ils peuvent à leur tour conférer les sacrements en son nom, en union avec leur évêque.

Ce sacrement fait d’un homme le serviteur des autres au nom du Christ dans la diaconie, le sacerdoce ou l’épiscopat. Si vous ressentez un appel à consacrer votre vie à Dieu et aux autres, adressez-vous à l’abbé Nicolas Glasson, vicaire épiscopal pour la culture de l’appel, les vocations et la formation, Supérieur du séminaire LGF.

Le mariage, union de la femme et de l’homme créés à l’image de Dieu, est le signe de l’amour indéfectible et éternel du Christ pour son Eglise. Il est également le signe de la liberté humaine : les époux s’engagent mutuellement par une promesse consciente et libre, dont le prêtre ou le diacre sont les témoins au nom de l’Eglise et de Dieu. Il donne les grâces nécessaires à la volonté de fonder une famille et aux responsabilités parentales des époux.

Pour préparer votre mariage en Eglise, plusieurs démarches sont nécessaires et les délais sont parfois longs, il est conseillé de s’y prendre au moins 6 mois à l’avance :

1.  Prendre rendez-vous avec le prêtre de votre paroisse de domicile, pour ouvrir le dossier et les procédures administratives.  Même si vous souhaitez qu’un autre prêtre célèbre votre mariage, c’est lui qui en a la responsabilité.
2. Chercher et fournir les documents nécessaires (certificats de baptême et de confirmation, d’état civil et une copie du certificat de votre mariage civil)
3. Suivre une session de préparation au mariage, avec d’autres couples, une équipe d’animation, selon ce que votre prêtre vous recommande.
4. Préparer la liturgie avec le prêtre qui célébrera votre mariage et les intervenants de la célébration

• Vaud 
• Genève
• Fribourg francophone
• Fribourg germanophone
• Neuchâtel

Le sacrement de la réconciliation est offert à toute personne baptisée qui, s’étant éloignée de Dieu, regrette ses actes et revient vers le Père miséricordieux, qui pardonne tous les péchés. Il est généralement reçu pour la première fois avant la première communion et, comme l’eucharistie, peut être reçu plusieurs fois et régulièrement.

Tout prêtre est à votre disposition, dans la stricte confidentialité du secret de confession. Vos paroisses donnent souvent des horaires de permanences pour ce sacrement.

La Confirmation, comme tous les sacrements, n’est pas l’œuvre des hommes, mais de Dieu, qui prend soin de notre vie en nous modelant à l’image de son Fils, pour nous rendre capables d’aimer comme lui. (Pape François, audience générale du 29 janvier 2014).

Vous démarrez un itinéraire vers la confirmation ? Contactez le référent cantonal :

• Vaud : Fabienne Gapany / 078 821 17 99
• Genève : Martine Bulliard / 078 838 51 47
• Fribourg : Emmanuel Rey / 079 453 61 16
• Neuchâtel : François Perroset / 032 720 05 68

Esprit

Les Orientations diocésaines pour la Confirmation (validées par notre évêque en 2018) proposent une pastorale du sacrement adaptée au monde d’aujourd’hui. Elles visent à une harmonie et une cohérence de l’initiation à la confirmation au sein de notre diocèse.

Ces Orientations privilégient trois axes : ouverture à tous, itinéraire de type catéchuménal, dimension ecclésiale.

Heureuse dé-maîtrise !

Tout chrétien est invité à une conversion permanente. Les Orientations s’inscrivent dans cette dynamique et nous proposent d’accompagner les personnes dans le respect de leur liberté et de leur cheminement individuel. Il ne s’agit donc pas de « changer pour changer », mais bien de nous convertir en profondeur à la lumière des signes des temps et au souffle des appels de l’Esprit.

Notre action catéchétique ne doit pas se substituer à celle de l’Esprit, qui intervient de manière unique dans la vie de chacun. Saisissons la chance qui nous est offerte d’une « heureuse dé-maîtrise », afin d’accueillir la nouveauté de Dieu. Choisissons la confiance : en Dieu, en l’Evangile, dans les personnes qui cheminent, dans la pratique pastorale de l’Eglise.

L’eucharistie est le sommet de toute la liturgie chrétienne parce qu’elle nous donne le Christ lui-même. Toute la célébration de la messe est le signe de la présence de Dieu au milieu des hommes et la communion au corps et au sang du Christ non seulement nous procure une union intime à Dieu mais elle fonde aussi la communion profonde qui constitue l’Église.

La première communion c’est le sacrement de l’eucharistie qui signifie «action de grâce ». C’est recevoir pour la première fois le corps du Christ sous forme d’hostie consacrée par le prêtre. La communion crée une relation personnelle au Christ en nous nourrissant de sa Parole et de sa vie. En général, les enfants communient pour la première fois entre 8 et 10 ans ; mais c’est une démarche qui peut être effectuée à tout âge.

Pour préparer le sacrement de la communion, vous pouvez prendre contact avec votre paroisse et/ou consulter le service de catéchèse des cantons de notre diocèse:

• Vaud
• Genève 
• Fribourg francophone
• Fribourg germanophone
• Neuchâtel